Il faut retenir quatre limites au fordisme :
- Première limite : la crise sociale, protestations;
- Deuxième limite : les contraintes du marché;
- Troisième limite : l'automatisation;
- Quatrième limite : les nouvelles formes de travail, interrogation sur les capacités à changer.
-Première limite : la crise sociale.
Le quasi-plein-emploi stimule les revendications salariales et favorise le rejet des conditions de travail dégradantes. Le chômage a tendance à diviser le mouvement ouvrier.
La période 1968 représente bien tout ceci.
Ce sont surtout les ouvriers peu qualifiés et immigrés qui revendiquent.
-Deuxième limite : les contraintes du marché.
Le quasi-plein-emploi stimule les revendications salariales et favorise le rejet des conditions de travail dégradantes. Le chômage a tendance à diviser le mouvement ouvrier.
La période 1968 représente bien tout ceci.
Ce sont surtout les ouvriers peu qualifiés et immigrés qui revendiquent.
-Deuxième limite : les contraintes du marché.
La demande varie, change de nature : elle porte davantage sur la qualité de la production, la demande est plus attentive au service après vente.
La demande va petit à petit se différencier.
Elle ne veux plus de produits standards.
De plus, le marché est saturé pour de nombreux biens : électroménager, automobile.
La saturation amène donc à un changement de production.
-Troisième limite : l'automatisation.
L'automatisation c'est le fait de remplacer l'homme par une machine programmable.
L'enjeu c'est la qualification, car on demande aux travailleurs de s’adapter à d'autres tâches mais ils ne sont pas qualifiés pour celles-ci.
Le fordisme a déqualifié le travail.
L'automatisation engendre des problèmes de qualification, des problèmes de rentabilité de l'entreprise à cause de la hausse de l'investissement.
-Quatrième limite : les nouvelles formes de travail.
Face aux problèmes que pose le fordisme, au Japon un nouveau mode de fabrication se met en place : c'est le toyotisme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire